Lieux d’habitations à Campagne des Gaüzère originaires de JeanLaouillé.

Très rapidement, la terre de JeanLaouillé n’a plus suffi à nourrir la nombreuse tribu Gaüzère.

En 1700, seulement un paysan sur dix, disposait d'un terrain suffisant pour nourrir sa famille. La société paysanne était très hiérarchisée. D’après les mentions portées dans les registres paroissiaux, nous pouvons conclure que nos ancêtres se situaient le plus souvent parmi les petits propriétaires, les laboureurs et les petits paysans ou des vignerons mi-propriétaires, mi-fermiers.

 

D’après le contexte général de l’époque reconstitué par « Marie-Odile Mergnac, dans Le livre de mes ancêtres, Archives & Culture.

 

« Le laboureur, assez aisé pour posséder au moins un ou deux chevaux de trait, un attelage, une charrue ». « Au prix habituel du cheval, toujours supérieur à 50 livres lorsqu'il n'est ni vieux ni malade, cela situe le personnage, écrit Pierre Goubert. La dénomination de laboureur est un titre porté avec fierté, auquel on renonce difficilement, même si on a subi des revers ».

 

« Ensuite des petits paysans ou des vignerons mi-propriétaires, mi-fermiers ou métayers, vivant modestement. Affermer des terres leur permet d'agrandir les leurs, insuffisantes pour les faire vivre. Le bail est en général conclu pour une période longue, 3, 6 ou 9 ans, et le prix fixe ne varie pas, quel que soit le résultat, bon ou mauvais, de cultures ou de l'élevage dans l'année ».

 

« Le métayer a un statut beaucoup plus précaire : il loue des terres à cultiver, souvent pour une année, et s'engage à en partager pour moitié tous les produits avec le propriétaire. Il n'a pas besoin d'avancer de l'argent - qu'il n'a pas - et court bien sûr moins de risques que le fermier ; si les récoltes sont médiocres, la part à reverser baisse d'autant. Mais les mauvaises années ne lui laissent pas toujours de quoi vive normalement ».

 

« Enfin, en bas de cette société rurale : les journaliers ou manouvriers. Ils ont des ressources irrégulières, des situations inégales, rarement bonnes, allant de la médiocrité au dénuement. Ils s'apparentent aux mendiants, mais sont pourtant assez souvent propriétaires ou locataires d'une petite maison. Ils ont peu de biens, un coin de jardin qui permet quelques cultures, peu de bétail, surtout de la volaille, une vache ou quelques ovins nourris par la vaine pâture sur les prés communaux. Ils louent leurs bras et travaillent chez les autres à des tâches banales, saisonnières, intermittentes : faner, moissonner, battre en grange, aider aux menus travaux des fermes importantes, vendanger, etc. Ils servent de main-d’œuvre d'appoint dans le bâtiment, aident les bucherons, fabriquent des fagots... Leur condition très précaire dépend de l'embauche, très irrégulière, des salaires généralement payés en nature, et surtout du prix des grains et du pain. Un accident de santé du chef de famille est grave. Cette population, comme celle des tout petits paysans est sensible à la conjoncture des récoltes, peut vite glisser dans la pauvreté et l'errance ».

 

Les divers lieux d’habitations à Campagne des Gaüzère originaires de JeanLaouillé (notre famille).

 

Nous en avons recensé une trentaine et nous mentionnons, sans être exhaustif, quelques actes qui s’y sont déroulés et qui permettent d’y établir que nos ancêtres y ont vécu. Sans compter plusieurs maisons situées au Bourg, dont les noms ne sont pas mentionnés dans les actes paroissiaux ou d’état-civil.

 

Arrouquet (Grand), Larrouquet ou Arrouquet

Los Arroquets : prononcer "Lous Arrouquéts" en faisant entendre le ts final. Arròc, ròc / roc, rocher. En gascon, on a plutôt arròc arròca (prononcer "arroque") : roche. D'après le site : https://gasconha.com/locs/spip.php?loc14255

Jeanne Gaüzère (JeanLaouillé 1728 - Bigné 1786) et Jean Diris se marient en 1750 à Larrouquet. Naissance de leur fils Jean Diris, le 26/01/1756 à Larrouquet.

Jean Gaüzère (1766-1822), fils de Gracy, apparaît (avec Jean-Baptiste Gaüzère) comme propriétaire de JeanLaouillé, Grand-Arrouquet et Grand-Menjouat, dans le cadastre de 1811.

Jeanne Gaüzère (JeanLaouillé 1818 - Larrouquet 1891), fille de Jean Gaüzère (né en 1879 à JeanLaouillé et frère des précédents), épouse Arnaud Bats (Souprosse 1813 - Larrouquet 1877), en 1837 à JeanLaouillé et a 7 enfants dont les 3 premiers sont nés à Brouquère et les 4 suivants à Larrouquet. Sa descendance (Bats, Darrigade, Cols) y a vécu jusqu'en 1968.

 

Bergosse (Grand)

Naissance en 1874 d’Étienne Gaüzère, fils d’Etienne Gaüzère, petit-fils de Jean (Étienne) Gaüzère et de Marie Clavé.

 

Cabanes

Le premier acte connu remonterait à 1840. Y demeurent encore actuellement Marie-Thérèse et Jean-Pierre Gaüzère.

 

Capderot

Décès le 21/09/1787 de Magdelaine Gaüzère, née la même année.

Naissance le 30/09/1793 de Jean Gaüzère. Père Jean Gaüzère (30 ans, né 1763), mère Jeanne Ducournau (30 ans, né 1663). Présenté par Jeanne (Anne ? ) Persillon 28 ans (née vers 1765), donc sage-femme.

 

Cassoua-de-bas

Il existe un lieu-dit Cassoua qui faisait partie de la paroisse de Saint-Perdon (?) et deux Cassoua : de haut et de bas, dans la paroisse de Campagne.

 

 

 

 

Jean Gaüzère (né en 1723 à JeanLaouillé) y épouse Jeanne Bibes de Saint-Perdon, le 8/02/1752.

Son frère Jean (né en 1722 à JeanLaouillé) avait épousé en 1746, la sœur également prénommée Jeanne Bibes, à Millon.

 

Chinas

Marie Gaüzère (née en 1836) y épouse lJean Dudon, le 8/02/1857.

 

Chouriou

Mariage de Jeanne Gaüzère et de Dominique Cazeaux, le 10/2/1756.

Naissance de leur fille Marie Cazeaux, le 28/05/1757.

 

Crecq

Une partie de la famille qui était installée à Domingue depuis le milieu du XVIIIe siècle, a migré de Domingue au Creq. Bernard Gaüzère est né à Domingue en 1814 et est décédé au Creq en 1863. 

Naissance en 1857 et décès en 1858 de Jean Gaüzère (Père Bernard Gaüzère, mère Marie Darrieutort).

Mariage de Jeanne Gaüzère en 1860 avec Pierre Lacoste. Naissance de Bernard Lacoste en 1861. 

Décès d’un enfant mort-né en 1887 : mère Marie Gaüzère, père Jean Fosses.

 

Domingue

 

 

Jean Gaüzère (1728 à JeanLaouillé – 1780 à Domingue), petit-fils de Jeanne Duhau, y est décédé en 1780.

1765 : naissance de Jeanne Gaüzère, (père Jean Gaüzère né en 1723, mère Jeanne Bibes, grand-père Pierre Gaüzère, grand-mère Marguerite Tauziède, arrière-grand-mère Jeanne Duhau).

1777 : second mariage de Jean Gaüzère (veuf) avec Catherine Lamarque.

1780 : naissance d’Elizabeth Gaüzère, fille de de Jean Gaüzère (veuf) et de Catherine Lamarque

Ce qui implique qu’au moins deux Jean Gaüzère (nés 1723 et 1728) ont migré au Grand-Domingue.

Famille de Dominique Gaüzère « Le bagnard ». Lieu de départ vers Saint-Martin-D’Oney de la branche calédonienne.

Première signature Gaüzère en 1830.

 

 

Grand-Brouquère

Arnaud Bats et Jeanne Gaüzère, née en 1819, qui sait signer son nom pour la naissance d’Anne sa fille le 14/04/1839, et de deux autres enfants. Les quatre suivants naîtront à Larrouquet.

 

 

JeanLaouillé

C’est le nom qui ressort le plus souvent dans la marge des actes d’état-civil. Mais rapidement, il n’y a eu plus assez de place pour tous les Gaüzère qui ont essaimé dans d’autres maisons. Voir billet JeanLaouillé.

 

Labrouste

 

 

Recensement de 1819 : Étienne Gaüzère et Catherine Tastet (2ème épouse) et 3 enfants : Anne et deux Jean.

Naissance de Catherine Gaüzère le 9/01/1829, fille de Jean Gaüzère et de Marie Bibes et petite-fille d’Étienne (Jean) Gaüzère et de Jeanne Broustera. Branche issue de Pierre Gaüzère (fils de Jeanne Duhau).

Recensements de 1921 et 1931 : s’y trouve toute la famille de Vincent Gaüzère (né 1855, arrière-petit-fils d’Anne Persillon et Jean Gaüzère) : Albert Jean et Noëline ses enfants, Jeanne Clavé son épouse et les gendre et belle-fille. Branche issue de Jean Gaüzère (fils de Jeanne Duhau), notre branche.

 

Lapoene

11/11/1860 : mariage de Jean Gaüzère et de Marie Cabanes. Beaucoup d'autres actes avant et après cette date.

 

Large

Naissance le 9/10/1756 de Jean Gaüzère, fils de Jean Gaüzère et de Jeanne Bibes.

Naissance le 19/10/1756 de Jean Gaüzère, fils de Jean Gaüzère et de Jeanne Bibes.

Ces deux frères Jean qui avaient épousé deux sœurs prénommées Jeanne Bibes, habitaient au Cassoua-de-bas et à Millon.

Deux de leurs enfants prénommés Jean sont nés à 10 jours d’intervalle en 1756 et ont été baptisés au Large. Puis, encore deux autres filles à quelques jours d’intervalle en 1761.

 

Laurenson

2/11/1862 : mariage de Jeanne Gaüzère (née 1842 à JeanLaouillé, fille de Jean Gaüzère et Marie Lucbernet) avec Antoine Daudigeos. Naissance de Marie Daudigeos en 1863, Jean Daudigeos en 1865, Anne en 1869.

 

Matilon

Dominique Gaüzère (ex-bagnard) y vit avec sa 2ème épouse Marie Lelait. Ses enfants y sont nés (Dominique ou Jean, Étienne en 1845).

 

Menaut  

Situé juste au-dessous de Domingue et au-dessus de Layat.

Naissance de Jeanne Gaüzère (27/11/1794), fille de Jean Gaüzère et Jeanne Claverie. Cette famille avait donc quitté Domingue.

 

Menjouat (Grand)

Jean Gaüzère (1766-1822, fils de Gracy) apparaît (avec Jean-Baptiste donc son frère) comme propriétaire de JeanLaouillé, Grand-Arrouquet et Grand-Menjouat, dans le cadastre de 1811, soit une très grande superficie imposable.

Anne Gaüzère (née 18/04/1814) épouse Jean Clavé le 3/02/1839 et décède à Menjouat en 1883, ainsi que leur fils Bernard en 1849. Jean Clavé y décède en 1876.

Catherine Gaüzère, célibataire de 42 ans, y décède en 1875, née au Singuina (mère Jeanne Dagos).

 

Millon

 

 

Jean Gaüzère (né en 1722 à JeanLaouillé) y épouse Jeanne Bibes de Saint-Perdon, le 8/02/1746. Naissance de leur fils Pierre, le 23/07/1747. 

Jeanne Gaüzère (née à Brouquère, père né à Jeanlaouillé) s’y marie avec Jean Cabanes : naissance en 1888 de leur fille Marie.

 

Mouret

Jean Gaüzère (né le 19/11/1732) à Mouret (à Campagne) et décédé en 1780 à Pandelé, alors que sa sœur aîné Catherine (née en 1729) était née à JeanLaouillé.

Son père Pierre Gaüzère (fils de Jeanne Duhau) et sa mère Marguerite Tauziède avaient donc quitté JeanLaouillé pour Mouret tout proche (Bigné actuel) entre 1729 et 1732, puis nouvelle migration au Large où Pierre Gaüzère est décédé en 1759 et où deux de ses petits-fils ont été baptisés en 1756 à 10 jours d’intervalle alors que leurs pères (2 Jean Gaüzère) et leurs mères (2 Jeanne Bibes) habitaient au Cassoua-de-bas et à Millon, puis encore deux petites-filles en 1761 à quelques jours d’intervalle.

De cette branche, Jean Gaüzère (né en 1722 à JeanLaouillé) s’est marié à Millon en 1746 et son frère / cousin Jean Gaüzère (né en 1723 à JeanLaouillé) s’est marié à Cassoua-de-bas en 1752.

Naissance de Jeanne Gaüzère (19/11/1747) à Mouret, fille d’André Gaüzère et de Jeanne Banos, ce qui prouve qu'André Gaüzère (fils de Jeanne Duhau) y avait déménagé de son vivant et avait quitté JeanLaouillé, entre 1743 (naissance de Bernard Gaüzère à JeanLaouillé) et 1747. Cette branche a donc migré à Mouret, dix ans après la première. Décès d’André Gaüzère âgé de 50 ans environ en 1749, à Mouret, avec inhumation au cimetière de Campagne.

 

Curieusement, c’est notre ancêtre Jean Gaüzère (né en 1694) qui n’était pas l’aîné qui serait resté à JeanLaouillé, ses deux frères Pierre (l’aîné) et André (le cadet) étant partis à Mouret, puis au Large pour Pierre où il est décédé en 1759.

 

Nerbis

Mariage le 27/01/1750, de Jeanne Gaüzère et de Bernard Cabanes (veuf).

Naissance le 23/10/1751, de leur fils Bernard Cabanes.

Naissance le 18/02/1758 de leur fils Etienne Cabanes.

Décès le 17/12/1765, de Vital Cabanes, âgé de 26 ans (né en 1739), mari de Catherine Gaüzère (mariage en 1762).

 

Pandelé

 

 

Installation à partir de Jean Gaüzère (né en 1732), fils de Pierre et de Marguerite Tauziède et décédé à Pandelé en 1780.

Son fils Étienne y est né en 1772. Le fils d’Étienne, Jean Gaüzère (né le 25/03/1802), est décédé au Singuina. Décès en 1781 de Jeanne Gaüzère (née en 1756).

Naissance à Pandelé de Jean Gaüzère, le 3/10/1812 (Père Étienne, mère Catherine Tastet, sa deuxième épouse).

 

Pasqualon

Mariage de Jeanne Gaüzère (père Antoine, mère Jeanne Ducamp) avec Bernard Labeyrie, le 18/02/1838. Décès de leur enfant Vincent en 1843.

Puis migration de cette famille au Perruyon où a lieu le décès d’un 2ème enfant, Jean Labeyrie en 1849.

 

Perruyon (Purion)

Décès de Jean Gaüzère (le 26/09/1801), fils de Jean Gaüzère et Marie Duprat et né en 1757 à JeanLaouillé.

Décès de Jeanne Gaüzère en 1863, épouse de Bernard Labeyrie, fille d’Antoine Gaüzère et de Jeanne Ducamp de Domingue.

 

Petit Brouquère

 

 

Naissance de Jean (Étienne) Gaüzère fils de Jean Gaüzère et Jeanne Broustera, le 5 avril 1802, qui est décédé en 1847 au Singuina. Naissance de Catherine Gaüzère le 24/09/1810.

 

Postillons

Jeanne Gaüzère (née 1828, mère Lucbernet, née à JeanLaouillé, épouse de Jean Catuhe) y vivait en 1871.

 

Singuina

 

 

Jeanne Gaüzère épouse Jean Cazeaux au Singuina, le 14/01/1744 et y meurt à l’âge de 60 ans en 1781. Ils ont eu 4 enfants : Jean Cazeaux (1745), Marguerite Cazeaux (1749), Jean Cazeaux (1752), Jean Cazeaux (1765).

Sa cousine Marie Gaüzère (née en 1745) épouse un autre Jean Cazeaux, frère du précédent et a eu 4 enfants.

30/12/1749 : décès au Singuina de Jeanne Gaüzère (âgée de 35 ans, née vers 1714). Qui était-elle ? Venait-elle de JeanLaouillé ?

Plus tard, d’autres Gaüzère (hommes) ont habité au Singuina et y sont décédés.

Étienne (Jean) Gaüzère, né à Pandelé est décédé au Singuina en 1854, veuf de sa 3ème épouse (1ère épouse Jeanne Broustera).

Jean (Étienne) Gaüzère, fils de Jean Gaüzère et Jeanne Broustera, né le 5 avril 1802 à Brouquère, est décédé en 1847 au Singuina.

François Gaüzère y est né et y est décédé en 1865.

Jean Gaüzère, né au Singuina le 4/7/1867, a migré à Meilhan et est décédé en 1953 au Lacquy, près de Villeneuve-de-Marsan.

Il est à noter que les Cazeaux qui habitent encore de nos jours au Singuina, y apparaissent depuis la deuxième moitié du XVIIIe siècle dans les registres paroissiaux.

 

Sisto

Jean Gaüzère (dit Romain) né le 18/11/1865 à Cabanes est décédé le 22/02/1948 à Campagne. Épouse à Sisto le 21/02/1892, Marceline Ducam, née le 9/01/1875 à Sisto et décédée à Campagne le 20/12/1959.

Sa fille, Françoise Irma Gaüzère, née à Sisto (Campagne) le 6/06/1894 et décédée à Campagne le 8/06/1967) a épousé Jean Raymonjean, le 10/06/1913 à Campagne.

Leur fille Marie Raymonjean, cousine de Jean-Pierre et Marie-Thérèse Gaüzère (De Cabanes), épouse M. Dusseau, sans descendance.

 

Soubielle

Plusieurs Gaüzère de notre famille au XIXe siècle. D’autres au XVIIIe siècle, mais sommes-nous apparentés ?

Marie Cazaux (8 enfants), épouse de Jean Gaüzère, les Tartas…

 

Treytin

Naissance le 7/08/1815 de Louise Dupouy. Père Jean Dupouy, mère Jeanne Gaüzère (fille de Anne Persillon et Jean Gaüzère).

Décès le 3/05/1858, de Marie Gaüzère (60 ans, née vers 1800), veuve de Jean Dupouy. Certainement Jeanne, fille d’Anne Persillon et Jean Gaüzère.

 

Vigné (Bigné) et Larouquet

Jeanne Gaüzère, née le 22 août 1728 à JeanLaouillé, mariée le 22 novembre 1750, à Larrouquet avec Jean Diris puis avec Jean Baché à Larouquet. Décédée le 12 novembre 1786 au Vigné qui est le nom ancien du Bigné actuel et qui touche à JeanLaouillé sur la route du Leuy.

 

En conclusion...

À Campagne, les haut-lieux de vie des Gaüzère de notre famille ont été JeanLaouillé, Domingue et Le Singuina. Lors des recensements du début et de la moitié du XIXe siècle, les Gaüzère représentaient environ 13 % de noms de famille du village.

En 2023, aucune de ces propriétés n’héberge de Gaüzère. Par contre, persistent des Gaüzère de notre famille à "Cabanes" et certains de nos lointains cousins Cazeaux au Singuina. La dernière personne apparentée ayant habité à JeanLaouillé, encore récemment, est Lucette Dubosq, épouse Bernède.

 

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