Pour expliquer les forts taux de décès constatés
périodiquement chez nos ancêtres, il convient de les rapprocher des calamités naturelles qui
ont frappé leurs régions. Leur alimentation dépendait exclusivement des
récoltes, lesquelles dépendaient du bon vouloir du climat. Nous ne traitons
pas ici des épidémies humaines
dont les conséquences ont été amplifiées par l’état nutritionnel de nos
ancêtres. Elles étaient d’autant plus meurtrières que les populations étaient
affaiblies par les disettes. Par
contre, nous abordons les épizooties en raison de leurs répercussions sur le
monde agricole.